Études et Influence

Comment je jongle entre les études et les réseaux sociaux ?

Si on m’avait dit un jour que je serais à la fois étudiante et influenceuse, je ne sais pas si j’y aurais cru. Pourtant, aujourd’hui, c’est mon quotidien : entre les cours, les devoirs, les révisions et, d’un autre côté, les shootings, le montage, les campagnes avec les marques… Autant dire que mes journées sont bien remplies ! Et je vais être honnête : ce n’est pas toujours facile. Mais avec le temps, j’ai trouvé un équilibre (à peu près) et appris à gérer les deux sans trop me laisser submerger.

Beaucoup de gens pensent que créer du contenu, c’est juste poster une photo et récolter des likes. En réalité, ça demande beaucoup de temps et d’énergie. Entre la préparation des collaborations, le tournage des vidéos, le montage, la gestion des mails et des négociations avec les marques, ça peut vite devenir un vrai boulot à plein temps. Et tout ça, en parallèle des études.

Quand je travaille sur un projet, je dois souvent jongler entre plusieurs deadlines : un rendu à faire pour les cours et une campagne à publier le même jour ? Ça arrive plus souvent qu’on ne le pense. Sans parler du fait que les réseaux ne dorment jamais : il faut être régulier, répondre aux commentaires, interagir avec sa communauté… Ce n’est pas juste un passe-temps, c’est un vrai engagement.

Comment je m’organise ?

Je ne vais pas mentir : parfois, c’est le chaos. Mais j’ai trouvé quelques techniques pour éviter de me laisser submerger :
• Un agenda en béton : Que ce soit pour mes cours ou mes collabs, tout est noté. Je planifie mes journées à l’avance pour éviter les mauvaises surprises.
• Créer du contenu en avance : Les jours où j’ai du temps, je filme plusieurs vidéos et je prends plusieurs photos pour avoir du stock et ne pas être prise au dépourvu.
• Fixer des priorités : Quand j’ai un examen important, les réseaux passent en second. Il faut savoir où placer son énergie au bon moment.
• Des horaires précis : Je me réserve des créneaux pour bosser sur mes études et d’autres pour gérer les réseaux, histoire que l’un ne prenne pas trop le dessus sur l’autre.

Les hauts et les bas de cette double vie

Évidemment, il y a des moments où je me sens dépassée. Il m’est déjà arrivé de devoir refuser des opportunités parce que ça tombait en pleine période de partiels. Il y a aussi la fatigue, les nuits blanches à monter des vidéos après une journée de cours intense… Bref, c’est un équilibre fragile.

Mais à côté de ça, il y a aussi énormément de positif. Grâce aux réseaux, j’ai une indépendance financière, je collabore avec des marques que j’aime et je développe plein de compétences (communication, montage, négociation…). Ça me permet aussi de rencontrer des personnes inspirantes et de vivre des expériences que je n’aurais jamais imaginées.

Le mot de la fin

Si je devais donner un conseil à un étudiant qui veut se lancer sur les réseaux, je dirais : fonce, mais sois prêt à bien t’organiser. Ce n’est pas toujours évident de jongler entre les études et les réseaux, mais avec de la discipline et de la passion, c’est largement faisable.

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